Dossier special
Comment développer son activité grâce au marketing programmatique & au e-mailing nouvelle génération !

L’email, ce médium préhistorique qui évolue à toute vitesse !

Qu’il est loin le modèle Segmentation > Rédaction du message > Envoi ! Enfin … il POURRAIT être loin. Malheureusement, si de nombreuses technologies voient le jour, et accélèrent le potentiel de nos campagnes digitales, beaucoup de marketeurs restent bloqués dans des modèles anciens, principalement basés sur leur intuition. Ce n’est pas forcément de leur faute, puisqu’aujourd’hui encore, le marketing programmatique reste un rêve inaccessible pour beaucoup. Inaccessible, parce que les préalables à son déploiement sont difficiles à atteindre. Pensez donc à toutes ces entreprises qui ont voulu s’engouffrer dans le monde magique de la DMP… sans toujours savoir quels avantages ils pouvaient en tirer !

L’email, ce médium préhistorique qui évolue à toute vitesse !

Lorsque que je rencontre des clients et de prospects de notre agence emailing, j’ai l’habitude de dire qu’il n’y a pas de révolutions dans le monde de l’email marketing. On a face à nous un médium mature, qui a fait ses preuves et qui continue à les faire. Par contre, s’il n’y a pas de révolution dans l’emailing, il y a des tendances de fond et une évolution constante. En tant que médium alliant possibilités de communication de masse (que ce soit en prospection ou en fidélisation) et ciblage très précis (l’email est bien souvent l’ID ultime), il bénéficie, voir est au cœur, de chaque évolution dans les stratégies de communication utilisant la donnée.

Du contextuel dans mes emails !

Une des évolutions les plus importantes est l’utilisation du contexte d’affichage de l’email. Par contexte, on parlera principalement de la géolocalisation, du moment et du terminal d’ouverture de l’email. C’est le contexte direct, mais aussi d’informations concernant le cycle de vie du client, c’est le contexte indirect.

Sur le contexte direct, on a vu de nombreuses plateformes voire le jour à ce sujet, comme Reelevant.com, Realtime.email, Movableink.com, … qui permettent, avec relativement peu d’efforts d’utiliser la géolocalisation afin d’afficher le point de vente le plus proche, de personnaliser l’email en fonction de la météo locale, de modifier le contenu en fonction de la disponibilité des produits proposés, de rediriger l’internaute sur une application ou sur le site web, de récupérer en temps réel le statut d’une livraison, d’afficher les dernières news publiées sur un site, … les possibilités sont quasi illimitées si on en prend conscience.

Ce qui est intéressant, c’est que ces données collectées via l’email peuvent non seulement servir à personnaliser plus fortement votre newsletter, mais peuvent aussi servir à d’autres médiums. Toute ouverture (et clic) dans un email est une mine d’or afin de savoir où et quand vos clients et prospects consultent internet et quels sont leurs centres d’intérêt.

Sur le contexte indirect (en tout cas indirect par rapport à l’email), il s’agit des autres signaux que vous captez concernant vos clients et prospects. Cela peut-être un achat récent, un comportement sur votre site web qui vous donne une information sur les besoins de votre lead, un score, … Vous disposez de ces informations depuis belle lurette ? La différence, c’est qu’il faut cesser de regrouper ces données dans de grands segments, mais plutôt utiliser la puissance de blocs conditionnels en email. Dans vos newsletters, vous pourriez avoir cinq ou six blocs conditionnels, qui peuvent chacun contenir des dizaines de variantes si votre système est suffisamment automatisé. C’est un bloc de suivi de commande s’il y en a une en cours, c’est la proposition d’une extension de garantie sur un achat passé, c’est mettre en avant le moyen préféré d’entrer en contact avec le service client, c’est montrer les horaires d’ouvertures du point de vente le plus proche, c’est mettre exergue une catégorie de produit sur laquelle un besoin a été détecté, … les possibilités sont vastes, maintenant il faut s’y mettre !
 

 

Publi-reportage - 30/08/2016